Je suis Elodie FRANCOIS, je vis à Paris, et d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu envie de servir, d’être contributrice et de donner un sens à cette existence.

La vie m’a fait rencontrer, par le biais d’un mandat politique, « la fabrique urbaine » : qui m’a tant passionnée que j’ai décidé d’en faire mon métier, considérant que donner au plus grand nombre accès à l’urbanité est un moyen de permettre à chacun de devenir qui il est, de se déployer.

Comment nous as-tu connu ?

Désillusionnée et véritablement paniquée à l’idée que ma vie professionnelle ne ressemblait jamais à ce à quoi j’aspirais ; c’est-à-dire à une action transformatrice, à impact, en équipe et intelligence collective, avec des apprentissages tout au long.

J’avais besoin d’aide, ne sachant plus du tout comment m’y prendre puisque j’avais 2 ans avant déjà repris mes études pour me former à l’urbanisme avec l’espoir de vivre ma vie professionnelle rêvée dans la foulée.

Les RH de mon entreprise m’avaient conseillé de faire un bilan de compétences. Je ne connaissais rien au monde du coaching. La personne qui m’a confié votre nom m’a indiqué avoir fait plusieurs bilans de compétences qui n’avaient rien donnés, au cours desquels on lui disait que c’était formidable ce qu’elle faisait, qu’elle ne pouvait pas espérer mieux. A cette époque, je venais aussi de découvrir le kundalini yoga qui m’ouvrait à ma spiritualité.

Trouver la voie de mon accomplissement était vital. Il en allait de ma confiance en la vie.

Comment as-tu fait pour trouver l'argent à investir ?

Je me suis mis une pression terrible à mesure que le coaching avançait car je pensais ne pas avoir de résultats en dépit de toutes les découvertes que j’avais faites sur moi. J’étais focalisée sur le fait de « trouver ma juste place et d’enfin pouvoir produire mes effets » et j’avais l’impression, en refusant les opportunités qui se présentaient, de rétrécir mon horizon plus que de l’élargir.

Pourtant, sur la fin, un déclic s’est produit lorsque j’ai pris conscience de l’exigence et de l’impatience de mon mental et réussi à « me foutre la paix ». Tout est devenu plus fluide.

Confiant à une amie que j’aurais aimé candidater à offre qui avait retenu mon attention quelques semaines plus tôt mais que j’en avais été incapable sur le moment, elle m’a dit « depuis quand une deadline t’arrête ? ». J’ai alors mis tout en œuvre pour être reçue et avoir l’opportunité de faire valoir ma candidature dans un processus de recrutement qui était presque achevé et… j’ai eu le poste !

Quelle est ta vocation ? Le job qui te fait vibrer ?

Ce n’est pas évident à expliquer.

Je dirais qu’après chaque prise de conscience majeure (exigence, culpabilité…), j’ai découvert des ressources en moi, en définitive une force intérieure insoupçonnée, qui, combinée à tout le travail de clarté conduit pendant le coaching, permet d’envisager l’avenir plus sereinement.

Il s’est produit une sorte de reprogrammation.

Elle a été fondamentale et la reprogrammation que j’ai vécue sera selon moi la clé pour peut être enfin ne plus répéter des schémas professionnels qui m’ont beaucoup fait souffrir par le passé et empêchée de m’épanouir.

A qui recommanderais-tu ce processus de travail ?

Que personne ne sait mieux qu’elles ce qui est juste pour elles !