3 secrets pour passer un cap professionnel

cap professionnel

Lors d’une soirée des Informels Apec-L’Express, une dizaine de cadres témoignaient des déclics qui leur ont permis de passer un cap professionnel.

Voici les faits marquants que j’ai retenus en 3 verbes :

Se connaître.

Beaucoup d’entre eux ont exprimé le sentiment d’avoir eu à un moment ou à un autre une prise de conscience par rapport à eux-mêmes, souvent soudaine. Celle-ci s’est produite à des moments forts. « A ma 2e transaction, j’ai compris que malgré mes bons résultats, je n’étais plus à la bonne place car je m’étais éloignée de mes valeurs » raconte Emmanuelle. D’autres passent par un bilan de compétences « Quand mon entreprise a été rachetée par un grand groupe, je ne voyais pas quelle place je pouvais occuper, j’ai fait un bilan pour oser changer » explique Jacqueline. Christian, lui, voulait savoir « vers où avancer et comment s’en donner les moyens, c’était primordial ». Quant à Nathalie, elle tout à coup compris qu’elle avait besoin de déterminer ce qui lui était  » indispensable dans sa vie professionnelle et ainsi pouvoir éliminer des pistes. »

Oser.

La prise de conscience aussi nécessaire qu’elle soit, ne suffit pas. Il faut passer à l’action et pour cela oser. Oser « voler de ses propres ailes loin d’un grand groupe » pour Christine. Oser se projeter dans un autre métier « et recommencer tout à zéro » pour Emmanuelle. Oser « faire ce que l’on a envie car c’est là que l’on est bon » pour Pierre. Oser arrêter d’être bon élève comme le souligne Jacqueline « Pendant les 20 premières années de sa carrière, on est bon élève en fonction de ce que les autres attendent de nous,  après il faut oser en fonction de soi, c’est possible ou pas, mais si on n’ose pas on ne le sait jamais. » ;  ce que Laurent résume en « Il faut oser prendre des décisions, tout simplement ».

S’exposer.

Mais il ne faut pas oser sans avoir exposé son ou ses projets aux autres. Pour cela, « Il ne fait pas rester chez soi, d’abord pour garder le moral et aussi pour développer son réseau » selon Jean-Christophe.  Aller à la rencontre des autres c’est « Utiliser les réseaux physiques et virtuels » pour Jean-Christophe et « se montrer dans les salons et ainsi s’enrichir ». Pour Cécile  cela a été particulièrement efficace en ayant des activités extra-professionnelles et «parler de ses projets pour générer des conseils et des contacts différents » . Quant à Pierre, c’est un ami, lui-même consultant,  qui lui dit qu’il avait « le profil parfait pour être consultant. » Il ne l’aurait jamais su s’il n’avait pas évoqué avec lui son avenir professionnel.

En guise de conclusion. Ne nous trompons pas, ces cadres, ont aussi témoigné de leurs difficultés et de leur baisse de moral, il a aussi été question de « faire son deuil » (de sa précédente activité), de « claque professionnelle » ou de « perte de sens » mais tous ont su avoir le déclic et rebondir en allant à la rencontre des autres.  A l’image de ce qui se passe aux Informels organisées par l’Apec et l’Express !

Source : APEC, article d’Emmanuelle Papiernik.

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Je suis Marjorie Llombart, la fondatrice de Dessine-moi une Carrière, cabinet expert en reconversion professionnelle depuis 2013.

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